9 janvier 2013
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Derrière les portes closes
que le vent du soir caresse de phrases courtes
s'éparpille la vieillesse des roses
Tenir serrée ma peur pour qu’enfin elle se taise
regarde elle est déjà toute barbouillée de nuit
Calmes les ombres moissonnées
calme épaisseur du moindre
Lentement
dans les replis du bois
la flamme cherche
une forme parfaite
l'hiver du feu se fait plus clair
et moins sombre l'hier.
Merci à Jean-Pierre de la lecture musicale et avisée