2 janvier 2010
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21:00

Je crois au contraire qu’ils attendent
quelque chose qu’on ne leur donne pas
quelque chose que nos coeurs ne savent plus
Leur désir pourtant est si vivant
si humble
de poser un chemin
là
entre les deux yeux
où les questions se lèvent
ce n’est pas la fatigue
des contes ressassés pour faire croire aux enfants
à des veillées de paumes offertes à l'ennemi
Ce n'est rien de tout ça.
On a cassé les jarres
des porteurs d’eau d’espoir