8 décembre 2009
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Derrière les portes closes
que le vent du matin caresse de phrases courtes
la nuit d'une maison à l'autre
On a éteint les arbres
le sol est blanc comme un larcin au petit jour
Pourquoi faut-il que mon âme espère
vite un soir d’oiseau vert
un bec qui me déchire
que ruisselle mon coeur entier vers la lumière ?
que le vent du matin caresse de phrases courtes
la nuit d'une maison à l'autre
On a éteint les arbres
le sol est blanc comme un larcin au petit jour
Pourquoi faut-il que mon âme espère
vite un soir d’oiseau vert
un bec qui me déchire
que ruisselle mon coeur entier vers la lumière ?
Il faut que je te dise quelque chose
qui appartient à l’été
aux bruits d’amour dans l’herbe
Tu devrais te prendre par la taille l'aube est encore petite il fait beau.
Tu devrais t'enlacer t'enfuir vers ce pays où donner
ressemble à re-se-voir
un monde qui s'accepte et signe ses ratures
viens...
qui appartient à l’été
aux bruits d’amour dans l’herbe
Tu devrais te prendre par la taille l'aube est encore petite il fait beau.
Tu devrais t'enlacer t'enfuir vers ce pays où donner
ressemble à re-se-voir
un monde qui s'accepte et signe ses ratures
viens...