Poésie, symbolique du monde, les quatre éléments, contes, écoute, accompagnement, musique
Par Viviane Lamarlère
Les senéçons,
las dans l’herbe qui flanche, s’apprêtent au soleil d’un hiver
de gris vert de nuit. Faire de,
lent,
cet invisible aux hardes déchirées,
aile en vol étirée...
Je, sans détour, irai aux puits d'essence d'or
mystère sans penser, sans mémoire de l'éther
verrai enfin l'halime aux fleurs baccharidées...
Hâle suave des berges ! Profondeur du puisse
ensemence mes pas des graines de l'errant.
Ce séné des sons né
lance en l'air bleu qui branche et s’arrête au sommeil d’un nid vert
deux gris vers deux jouis, vair,
l'an et l'Un, près,
visible aux ailes désirées
Laisse l'esse,
naissons...
Rien qu'avec les "liaisons":
Sont là, verts de gris, fers de lance iréels étirés
jeu dormi, revers idéal
ineffable puissance de l'errance
elle anse vers deux gris,
vers l'imprévisible irai
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