l'innocence lynchée remonte à la surface les doigts ne battent plus leurs contretemps d'argile et la voix un champ mort a perdu son bien-dire
C’est le début de tous les débuts le renoncement au beau à ce qu'on met en ordre langue bas fouillant tout près du loin inscrit en cette étrange place où le Sois fut sanglé
Ecoute c’est lorsque le corps et la voix ne disent pas exactement la même chose que quelque chose est dit
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Merci Babou*, c'est un peu mon chemin, un peu celui de celles et ceux écoutés,<br />
qui comme tu le fais remarquer fut souvent douloureux<br />
beaucoup d e celui qu'il me reste à marcher.<br />
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Cela me touche infiniment que tu aimes... Bisous ;o)<br />
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V
Vanina
21/09/2008 16:29
Entre l'être et le dire, à la lisière, il y a la fragilité, l'indicible pourtant si visible...J'ai bcp aimé tout ce poème qui parfois confond celui qui écoute et celui qui aimerait dire, celui qui fait silence et celui qui le soutient par les mots...SourireVanina
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C'est toute la douloureuse question du transfert-contretransfert<br />
que tu poses là<br />
elle est inévitable<br />
bien sur pour celui qui est écouté<br />
mais parfois aussi pour celui qui soutient de son silence ou ses encouragements;<br />
Bisous et merci du sourire que je connais en vrai (sourire)<br />
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