Poésie, symbolique du monde, les quatre éléments, contes, écoute, accompagnement, musique
Par Viviane Lamarlère
Clin d'oeil à Escher et Jean-Sébastien Bach
En ocre des palindromeset en suivant ce lien,
le palindrome le plus long écrit à ce jour, plus de 2000 mots
Sans oublier le palindrome de Perec
1247 mots
Mes mains seules savent que cette histoire est vraie
De questionnants oiseaux m'y tiennent compagnie.
Un verse à ma raison ses arguments coquins
Deux meurt en bas de soir et renait au matin, sans cris
Ter mine, use mes mains qui portant calame
itent et ratent leur sortie.
On ne le dirait pas, ma
Comment tout cela-t-île commencé?Après un long moment dans un salon de thé
sous l'ivresse de l'eau buvant le ciel d'automne.Tonnes d'eau! Ciel, le vent bulle, O dessert vil...
J'empreintais de mes pas
quand le vrai m'apparut dans la splendeur de son mensonge.Je choisis d'y tomber, non sans avoir offert mes souvenirs de Madeleine aux êtres sans éclat dont je devinais la nage au sommet de ce trou lumineux.Rencontrerais-je mes memes,
ces autres se disant : ami si mat n'a, si dessert au sec
qui peuplaient - le pensais-je alors - ce petit coin du paradis enfoui dans les bas-fonds du ciel...?
Le monde est gris...
Et je tombai.
Jouissance de la chute vers les cimes.
L'univers devenait tout à coup passionnant!Et je tombais croisant, non pas mes compagnons d'infortune
mais un monde en métamorphose
qui échappait lentement aux profondeurs natives
Ô, se disait une carpe égoutant dégoûtéemes restes de gouter s'écalant sur sa poEau! dis-moi vite
le secret où, têtu oter ce sel.
Naturellement, c'était du sucre !Elle eut à peine temps d'entendre la réponseau coeur des fluides couchée,limite entre sais pas ou saisque déjà ciel rayait du compas de ses ailes.
Et tombant je parvins en ce lieu où je vis désormais.M'y attendait de quoi dessiner
faire naître la vie.
Un jour j'y parvins presque.Mais les créatures aimables surgies de mon crayon
tombèrent dans ma timbale
après s'être prises pour un volcan! Je les grondais:Avenantes , animale, tu te laminas, Etna ne va...!
Quelle perte de temps, finirent-elles par me confiercet espace tournant
sans cesse autour de lui
iule dru et pensif...
Je pris le premier livre venu pendant que mes créaturesretournaient à leurs deux dimensions. Il parlait de ces temps
où la pluie laissait derrière elle des heures de verdureet non ces trous béantsoù je m'étais complu.
Un grand ruban de vent en mon âme
y déroula soudain la cire de ses penséesPas un zeste !
me dit-ilLit idemTu as voulu faire l'ange, désormais fais la bêteAnge re-né, rage... égaré ne regna .
Depuis je book dans un fortin ouvert à tous les vents
mais entouré de météores
je n'en fais plus un théorème
dewplayer:http://s3.archive-host.com/membres/playlist/1543578952/01Contrepoint16-2Fugues-Miroirs1.mp3&Jean-Sébastien Bach, Art de la fugue, BWV 1080
Contrepoint XVI
Par K. Ristenpart et l'orchestre de la Sarre
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