Poésie, symbolique du monde, les quatre éléments, contes, écoute, accompagnement, musique

les chants cassés de l'eau qui tombe

 

Quand je ferme les yeux et me laisse couler
je les entends très nets
les chants cassés au bout du fleuve, l’eau
                                                        qui
                                                            tombe

Il ne sait pas
celui qui vient lécher les berges
il ne sait pas son nom.

Mais moi
hier je me suis coupé le doigt.

Quand ferme je les yeux et laisse me couler
Je les entends très nets
les chants cassés au bout du fleuve, l’eau
                                                        qui
                                                            tombe

Et l'arrondi des roches où tout glisse surpris.
Mille autres

chut

Quand me laisse couler
chants cassés bout du fleuve eau
                                                        qui
                                                          

Roule à grotte creusée qui ne se sait pas grotte
lit qui ne se sait lit
le cours recommencé l'oubl

il suffit de couler
parler petites brèches
corps comme anse
à penser




 
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R
<br /> <br /> J'ai découvert ton poème avec plaisir, fond et forme sont travaillés pour nous transmettre une véritable émotion, et un peu de mystère<br /> <br /> <br /> <br />
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R
<br /> <br />  <br /> <br /> <br /> C'est gentil comme tout d'avoir aimé cet essai de sortir de ce lyrisme qui m'est spontané ( on ne fut pas artiste<br /> lyrique pour des prunes ;o))) , j'avais aimé le composer, mille merci Rebecca de ta lecture attentionnée!<br /> <br /> <br /> <br />
S
C'est beau , ça , très beau.
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R
Merci. J'ai besoin de me sentir aimée pour écrire... heureusement que les amis sont là ;o))merci Serge, comment avez-vous retrouvé mon adresse???