Des crocs sur mon épaule cherchent à se poser morsure toute proche je n’ai que trop connu la glace faim d’oser m’enfuir de cette geôle.
La peau barricadée rêve de vagues blondes d’un soleil de froment promenant son ennui oblique sur les ondes un épi pour gréement
Franchir la porte grise aux fausses majoliques briser le regorgeant plastron du déjà dit aux sentences septiques débusquer lerongeant de mes tristes topiques
Savoir les intrigues de bugles au-delà du rideau leur rire carnassier et leur voix de corbeau et l'étouffant remugle confettis minuscules d’un feulement tout chaud sur le cuivre posé
Boire les flaques de nuit sur le chemin qui tombe à la renverse moi dans tous tes bas - côtés d’un doigt léger plus doux plus humble qu’une aurore repriser les filets de virginaux encore indigente renaître et au delà du bleu qui cercle ma fenêtre voir le rouge surgir.