Depuis quelques jours, je ne cesse de goûter avec délices à l'article magnifique que nous a offert Angèle Paoliautour d'unrecueilde poèmes de Martin Rueff,
Icare crie dans un ciel de craie.
Critique superbe, qui ouvre au désir de faire connaissance avec ce poète
Amoureux de la poésie, allez lui rendre visite, vous ne le regretterez pas!
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Tu sais... oui, tu le sais.<br />
Souvent dans le silence je viens relire tes poèmes, car l'homme de coeur et d'engagement que tu es est aussi compagnon de la poésie .<br />
Je viens de relire, pour le bonheur de ces mots là<br />
ces textes qui me touchent à chaque fois<br />
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Carnet de voyage en pays de verre, Jeudi,<br />
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et puis Dimanche ,<br />
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et puis TOMbe-ebMOT qui est pour moi tant<br />
par son fond que sa forme un texte fondateur<br />
parmi d'autres bien sur...<br />
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Alors comment puis-je, moi, te remercier? J e me sens si petite souvent face à votre pensée aux uns et aux autres...Merlin et toi par exemple et parce que de tous vous êtes ceux que je connais (un<br />
peu) le mieux. Et votre talent immense. Mille merci Luc.<br />
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T
traces
04/06/2008 17:28
Merci Yves d'évoquer "la folle farandole". Et que nombreux soient encore les farandoleurs!Quant à moi je repars en emportant cette belle page qui mérite d'être lue plusieurs fois.
Cela donne un peu le vertige de naviguer entre toi, Viviane, toi, Agnès, et la folle "farandole des solitudes" de traces (je la mets en lien site web). La dernière question posée était celle-ci. La solitude ne serait-elle pas la peur de l'autre ? L'autre pouvant d'ailleurs être soi...
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La piste que tu m'as donnée ( farandole des solitudes" est très sympa, très riche!<br />
ah, Yves, si les journées faisaient 48 heures, combien cela m'arrangerait (sourire)<br />
car tu sais... la lenteur. oui, tu sais ;o)<br />
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Mille bisous et je pense à vous deux.<br />
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