Nous cherchions des routes plus graves et folles de leur ciel si bleu
Sous nos pieds la charpente des pierres
A peine si certaines écartant cette croute nous entendaient passer
Puis les Rias de foudre où le vent blanchissait un parfum de charogne et je te regardais trébuchant dans ta voix joyeuse d'autres sels le visage accueillant sans armes les embruns
Combien de paysages avions nous écornés pour empoigner enfin
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Merci Philippe, prélude à un départ, j'imagine, vers ces contrées souriantes où il doit faire plus frais ...<br />
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U
ulysse
29/04/2011 18:29
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Viviane j'adore ton poème moi qui arpente souvent la charpente des pierres et empoigne à force d'horizon l'autre coté du voir.....<br />
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Comme je comprends cet enthousiasme pour l'horizon, les pierres, le voir ;o))) Merci Ulysse le voyageur des crêtes...<br />
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L
L'Anonyme
07/02/2010 12:50
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"l'eau calme de l'insu"<br />
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Chute en soi, c'est beau.<br />
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Merci beaucoup beaucoup, O. de ton enthhousiasme, il donne de l'énergie à la plume qui en ce moment est plus souvent posée sur le bureau<br />
à se languir ( mais je passe tellement de temps au jardin... )<br />
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