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Bonjour Viviane,<br />
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Je suis tout à fait d'accord avec toi. Le mot " droit" plein la bouche mais... et les devoirs? Cela va de paire, le tout chapeauté par le "respect". Le monde s'en porterait mieux<br />
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Bonne journée Viviane ( chez moi il fait gris et bas)<br />
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Martine<br />
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Il y a un vrai souci de transmission des valeurs en notre monde de riches. Quand on en arrive à être obligé de créer<br />
des écoles des parents, ou à une délinquance qui commence au collège, c'est que le monde marche sur la tête! Merci Martine...<br />
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R
Rébecca
16/11/2011 10:43
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Très juste... voilà un bon sujet de méditation qui ferait couler beaucoup d'encre !<br />
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J'ai bien peur qu'en guise d'encre, la population et ses édiles ne se cachent la tête sous un grand drap de trouille<br />
mêlée de lacheté... Merci Rebecca!<br />
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M
Marianne
16/11/2011 10:32
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Sans doute, tel le marché des droits à polluer (où des pays vendent à d'autres leurs crédits à polluer), la corruption devient si visible que les droits et les devoirs perdent en crédibilité et<br />
pire encore en respect des règles et des lois.<br />
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Parfois je me dis qu'il faudrait qu'on revienne simplement au bon sens.<br />
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Et comme j'applaudis à cette proposition de bon sens , Marianne!!! Tu as raison, l'exemple doit venir d'en haut, mais<br />
comme en haut s'en moque... On n'est pas sorti de cette mauvaise auberge.<br />
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M
Merlin
15/11/2011 21:12
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Ah, le marché ! Le grand mot ! Entre l'offre et la demande et la résultante de ce deal souvent pipé, il y a quoi ? Je déteste tout ce qui peut être considéré<br />
comme un marché car la simple idée de marchandage me révulse et me consterne.<br />
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Le marché, ce mot dont je n'arrive pas à retrouver l'origine, évoque pour moi les beaux marchés africains, marocains,<br />
guyanais et sans aller aussi loin, ceux de nos petites villes et villages. Avec à chaque fois cette dimension qui en effet disparait: " je produis de belles choses nées dans la terre grâce à mles<br />
doigts, si tu les aimes, contre un conseil et un peu d'argent ou tout autre chose, je te le donne " La monnaie y était donc souvent assortie de passion partagée. Moi non plus je n'aime pas le<br />
marchandage, il se trouve que aujourd'hui ( et cela aussi me consterne) toute dimension humaine passe par ce filtre là qui tresse ses filets malsains autour de ce qui pouvait être beau... D'où<br />
mon ironie à user de ce vocable pour des conditions du vivre ensemble abîmées par le fric, le fric, le fric. Mille merci Merlin!<br />
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