Poésie, symbolique du monde, les quatre éléments, contes, écoute, accompagnement, musique
J’ai toujours aimé les vieilles personnes
la beauté de leurs traits marqués par les chagrins
Leur automne a laissé les désirs d’absolu accrochés aux broussailles
et si elles sont peine
elles savent encore épouser la débâcle
en caressant la joue d’un tout petit enfant
j’aime les regarder
me poser auprès d’elles
la douceur de leurs mains presque vides
en silence aux genoux
disent la paix atteinte et l'émerveillement
de ce qui ne sert à rien