Poésie, symbolique du monde, les quatre éléments, contes, écoute, accompagnement, musique

L'après...



Les mots c'est toujours trop


On voudrait prendre dans ses bras
bercer jusqu’à la fin de la nuit
celles qui restent là
la voix fermée à double tour
le cœur qui cogne dans l’hiver

l’air
qui s'évade lentement
on ne sait plus quand ça a commencé  et quand c'est définitivement.

Le regret d'être passé à côté de quelqu'un sans avoir eu le
temps
vraiment.

La mort est douce.
Souvent.

C'est la solitude de ceux qui restent
leur ventre comme un nid glacé
qui fait mal.



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