Une folie orange

Hommages et échos

28.02.2008 …

Par Viviane Lamarlère

Sur une idée de Pant Savart

De l’aube
        s’envole
                légère
une folie orange

L'orage
            au loin

        une rivière


chemin clair
                        qui retombe

« Article précédent Article suivant »

Retour à l'accueil

Partager cet article

Repost0

Commenter cet article

Vanina

04/03/2008 12:41

J'aime beaucoup cette idée d'espace qui laisse aux mots une certaine liberté dans leurs enchaînements.SourireVanina

Répondre

Russalka

05/03/2008 10:02

Merci Vanina, c'est gentil comme tout (sourire)

Michèle

03/03/2008 12:20

Merci pour ce chemin clair qui vient de laisser chez moi quelques gouttes au parfum de bonheur du jour !

Répondre

Russalka

04/03/2008 09:47

Merci Michèlecontente de vous avoir donné un peu de clartéchez moi tout est sombre.

Pant

02/03/2008 23:27

Merci Viviane, je pense que les ateliers d'écriture doivent aider un peu les enfants et autres d'ailleurs, je n'en ai jamais animé mais le parts-semées peut etre une excellente approche, simple, conviviale, ludique, et esthétique. Il faut pallier les manques à la culture, ce que font d'ailleurs inlassablement deja pas mal d'auteurs, dont Agnès noble conteuse.

Répondre

Russalka

04/03/2008 09:46

Merci à vous Pant,un ami anime pour leur bonheur un atelier d'écriture dans son collègeje crois cela très important pour donner confiancecette confiance en soi que je n'ai jamais euevolée dès ma naissance...Oui, Agnès donne beaucoup d'elledans la discrétion, c'est gentil à vous d el e rappelerJe vais être absente je ne sais combien de temps. A une autre fois...

marc

01/03/2008 15:53

un poème écrit un peu comme les miens en cassure les mots il faut effectivement les décaler pour qu'apparaissent quelques espaces (blancs) ce que les musiciens appellent des pauses ou des silences les pauses ou les silences sont toujours mieux que les poses ou les discours les plus beaux poèmes seront toujours ceux que nous n'écrirons jamais

Répondre

Russalka

01/03/2008 17:27

Ces derniers jours je relisais quelques pages d'Edouard Glissant, poète ô combien puissant, lyrique et souvent proche de l'emphase et je me disais que dans le fond, lorsque le sujet s'y prête, le style s'impose de lui-même. Donc il est vrai que je ne cherche jamais à forcer la nature des mots ou des phrases. parfois, longtemps après, je gommemais parfois aussi je rajoute (sourire)Bisous Marco!

agnès

29/02/2008 18:38

Oui, Viviane, la porte est ouverte. J'ai été conviée. C'est moi qui refuse.

Répondre

Russalka

01/03/2008 09:30

J'entends bien, Agnès (sourire)tout choix est motivéet par là mêmerespectableet respectéBisous