L’oiseau des mauvais augures ne cherche que le vent plus haut des nuées plus sombres
Mais le regard blanchi sait que l’or du couchant appartient à celui qui se laisse guider par les ailes posées dans l’infinienuance ou le voilier gravant son modeste chemin au plus près du silence
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Mille merci Nicole<br />
je vens te voir dès que possible,nos enfants et notre petit bonhomme étaient là depuis hier matin et donc... Oh joie des retrouvailles et des sourires et des rires de ce petit bout...<br />
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Luc est très très bon lecteur<br />
et il m'a en outre corrigé un petit défaut de rythme<br />
donc une oreille musicienne<br />
bisous Marco, je viens te lire ce soir!<br />
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C
clementine
15/04/2008 20:05
ah ! les oiseaux.. le printemps, le soleil d'or ah ! et si tout cela n'existait pas, nous serions tellement tristes. clémentine S.
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Tu as bien raison, les oiseaux surtout, je ne saurai me passer de leur chants, leur mouvements fragiles, la petite inquiétude de leur pauses au bord de ma<br />
maison.<br />
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L
le bateleur
15/04/2008 15:30
J'ai vu ces vols menacesavant d'aller jeter un oeil sur leur image en lientant ton vers portait déja leur ébats chancelantsComment l'aérien peut-il avoir autant de poids ?
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Tu as bien raison de souligner cela. Hier nous regardions s'envoler des corneilles<br />
elles semblaient avoir assez de force pour soulever le ciel<br />
et leur dessins ensuite changeaient les mouvements des nuages. Merci Luc<br />
du passage avant ton départ.<br />
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