Le geste pur effleure l’instant léger déploiement tendre cruel transparences creusées non de la main mais du vouloir intègre du corps total arquebouté la tragédie inscrite sur le visage un envol esquissé de la pointe du pied le réel dévoilé en silence la lune comme nous suspendue à un fil derrière le plâtre l’ombre de la vie derrière le masque un mime